Scritto dopo una missione in Libia, lo studio – frutto dell'attività congiunta del Centre international de recherche et d'études sur le terrorisme et d'aide aux victimes du terrorisme (CIRET-AVT) e del Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R) – è molto critico nei confronti del governo francese.
Come ben sintetizzato dalla newsletter TTU Online: "Le rapport s'alarme de cet engagement «irréfléchi» de Paris, qui fait le jeu de l'administration américaine, laquelle s'est bien gardée d'afficher ses objectifs et a laissé la France prendre tous les risques. (…) La présence de services de renseignements aux côtés des insurgés et le recours aux unités de forces spéciales seraient un contournement manifeste des dispositions de cette résolution et relèveraient de l'ingérence. Les auteurs de ce rapport s'interrogent, par ailleurs, sur les motivations de cette intervention militaire. Selon eux, le contrôle des ressources énergétiques est au cœur des stratégies à l'œuvre. Les Etats-Unis voudraient ainsi renverser Kadhafi pour bouter la Chine hors du pays. L'Egypte ne verrait que des avantages à une partition du pays, qui n'a jamais accepté le rattachement de la Cyrénaïque et des réserves pétrolières à Tripoli."
Una lettura molto interessante. Soprattutto laddove gli esperti francesi individuano gli obiettivi strategici dei principali attori internazionali in campo nella partita libica.
In particolare, gli Stati Uniti, veri artefici dell'intervento militare, mirerebbero a disarticolare il regime di Gheddafi al fine di contrastare l'avanzata cinese in Africa limitando l'accesso da parte di Pechino alle risorse energetiche del continente e rallentandone, in tal modo, lo sviluppo economico e la competitività.
Qui in lingua inglese.